tag:blogger.com,1999:blog-5456895178500701354.post7064662326674079637..comments2024-03-16T16:42:10.258+01:00Comments on l'histgeobox: 211. Chico Buarque: "Funeral de um lavrador". (1965)blottièrehttp://www.blogger.com/profile/10054774855331001223noreply@blogger.comBlogger1125tag:blogger.com,1999:blog-5456895178500701354.post-90314856713741106912010-06-16T18:25:24.924+02:002010-06-16T18:25:24.924+02:00J'avoue avec honte et regrets que je sacrifie ...J'avoue avec honte et regrets que je sacrifie le Brésil en 5° trop souvent à cause de la course de fin d'année; pourtant en lisant ton article, je me rends compte de l'importance que pourrait avoir son étude. En fait, ce sur quoi tu mets le doigt, c'est bien la possibilité d'interroger ces représentattions des pays émergents (avec leurs inégalités sociales criantes, leurs bas salaires, leur main d'oeuvre docile et ultra productive, leurs percées sur le marcé mondial) par l'exemple de l'un d'entre eux dans lequel les luttes sociales collectives contribuent à réintroduie de l'humain dans cette mondialisation si souvent résumée en performances et critères économiques. C'est une focale essentielle à mon sens que ton article met particulièrement en valeur. Si l'on y ajoute le regard de Salgado, qui arrive à faire des images d'une sublime esthétique en photographiant la misère la plus noire (ce qui est souvent troublant et le rend peut etre critiquable)et les mots de Chico Buarque, la nécessité du décentrage (ou recentrage?) sur l'humain n'en est que plus éloquent.véronique servathttps://www.blogger.com/profile/10826997382374013776noreply@blogger.com