Le roi d’Ithaque
n’en poursuit pas moins ses déambulations : résurgences, réappropriations,
réécritures s’enchainent entre images animées, chanson comptée, et pop
furieuse, Ulysse, indomptable, en perpétuel mouvement continue de contrarier le
sablier du temps et le tracé des frontières. Il est, par ses métamorphoses
successives, d’un éternel présent.
Ulysse :
le compteur d’Histoire(s).
Il pourrait être
simple de présenter ce héros grec tant il fait partie de notre culture commune,
tant il faisait partie, dans l’Antiquité, de celle des Grecs, cimentant leur
monde de cités-états, de prime abord disparate, en une organisation rationnelle
de cités-mères reliées à des colonies en Méditerranée. Les vers de l’Odyssée qui chantent les aventures
d’Ulysse, roi d’Ithaque, après la guerre de Troie que son camp, celui des
Achéens, remporta grâce à la , ont émerveillé bien des écoliers.
Succession d’aventures et de mésaventures qui mettent en scène hommes, héros et dieux, l’Odyssée livre un récit en miroir : celui de l’attente du roi absent pour Pénélope, et son fils Télémaque mais aussi pour le gens du royaume insulaire d’Ithaque, et celui du retour, entravé, d’un vainqueur longtemps exilé, dont le trône et la femme sont convoités. Qui ne se souvient pas de la « mètis »[2] d’Ulysse face aux chants envoutants et mortifères des sirènes, ou face au cyclope Polyphème qui dévore pourtant une partie des compagnons de route de notre nomade devenu « Personne » pour lui échapper ? Qui a oublié ses rencontres avec des femmes tentatrices (la nymphe Calypso), possessives (la magicienne Circé) ou bienveillantes (la douce Nausicaa, fille du roi des Phéaciens, qu’Ulysse éconduira pourtant). Les 24 chants de cette longue épopée ont marqué nos imaginaires.
Succession d’aventures et de mésaventures qui mettent en scène hommes, héros et dieux, l’Odyssée livre un récit en miroir : celui de l’attente du roi absent pour Pénélope, et son fils Télémaque mais aussi pour le gens du royaume insulaire d’Ithaque, et celui du retour, entravé, d’un vainqueur longtemps exilé, dont le trône et la femme sont convoités. Qui ne se souvient pas de la « mètis »[2] d’Ulysse face aux chants envoutants et mortifères des sirènes, ou face au cyclope Polyphème qui dévore pourtant une partie des compagnons de route de notre nomade devenu « Personne » pour lui échapper ? Qui a oublié ses rencontres avec des femmes tentatrices (la nymphe Calypso), possessives (la magicienne Circé) ou bienveillantes (la douce Nausicaa, fille du roi des Phéaciens, qu’Ulysse éconduira pourtant). Les 24 chants de cette longue épopée ont marqué nos imaginaires.
E. Burne-Jones, Le vin de Circé,1863-1969 |
Pourtant rien
n’est facile avec l’Odyssée. Sa
datation, l’identification de son auteur, sa lecture - sa composition que rythment les
épithètes homériques attachés aux personnages est faite pour être accompagnée de
musique et peut paraître quelque peu déroutante pour des lecteurs d’aujourd’hui
- ni ses possibles.
On ne peut affirmer avec certitude qu’Homère soit l’auteur du texte tant il diffère de l’autre œuvre qu’on lui attribue, L’Iliade dans laquelle Ulysse, fils de Laërte, apparaît également. Le poète des âges dits obscurs aurait vécu au VIIIème siècle avant Jésus-Christ. Le monde qu’il décrit dans ses deux poèmes fait l’objet d’un travail d’identification acharné notamment des archéologues littéraires bien qu’il soit attesté que les voyages d’Ulysse connectent, pour partie, des lieux imaginaires. Il est bien difficile de démêler dans les chants de l’Iliade et de l’Odyssée, la matière historique, gâchée par la matière poétique de la dire.[3] Passé à l’expertise des archéologues, le monde décrit par Homère est bien celui de la Grèce mais dans une temporalité bien plus vaste allant du XVI au VIII siècle avant JC, qui marque les débuts la colonisation méditerranéenne. La composition du texte s’avère tout aussi particulière. En effet, elle entremêle des récits épiques remodelés par une longue transmission orale, sans cesse altérés à des paysages mais aussi des éléments de culture matérielle éparses, la fixation par écrit attendra les IIIème et IIème siècle avant note ère.[4]
On ne peut affirmer avec certitude qu’Homère soit l’auteur du texte tant il diffère de l’autre œuvre qu’on lui attribue, L’Iliade dans laquelle Ulysse, fils de Laërte, apparaît également. Le poète des âges dits obscurs aurait vécu au VIIIème siècle avant Jésus-Christ. Le monde qu’il décrit dans ses deux poèmes fait l’objet d’un travail d’identification acharné notamment des archéologues littéraires bien qu’il soit attesté que les voyages d’Ulysse connectent, pour partie, des lieux imaginaires. Il est bien difficile de démêler dans les chants de l’Iliade et de l’Odyssée, la matière historique, gâchée par la matière poétique de la dire.[3] Passé à l’expertise des archéologues, le monde décrit par Homère est bien celui de la Grèce mais dans une temporalité bien plus vaste allant du XVI au VIII siècle avant JC, qui marque les débuts la colonisation méditerranéenne. La composition du texte s’avère tout aussi particulière. En effet, elle entremêle des récits épiques remodelés par une longue transmission orale, sans cesse altérés à des paysages mais aussi des éléments de culture matérielle éparses, la fixation par écrit attendra les IIIème et IIème siècle avant note ère.[4]
Rembrandt, Aristote contemplant le buste d'Homère, 1606 |
S’il est
difficile de présenter Homère et son œuvre tant il faut déblayer et démêler les
couches de représentations successives et les réappropriations dont l’aède et
ses œuvres furent l’objet, on peut s’attacher à ce que conte l’épopée et ce
qu’elle dit des références culturelles et des représentations des Grecs dans
l’Antiquité. Si les héros homériques, tel Ulysse, ont traversé l’Histoire, et
si ces poèmes ont tant nourri les imaginaires c’est bien parce que leur
connaissance était partagée et transmise par l’ensemble des grecs. Ils se
trouvaient en effet au cœur d’une culture commune, élément central incontournable
du système d’éducation, la paideia[5].
Le jeune grec s’élève ainsi par le savoir, se familiarise avec les héros qui
deviennent des modèles dont les épithètes homériques déterminent la valeur.
Ulysse, celui qui nous préoccupe, est le fils de Laërte « aux mille
ruses », l’ « ingénieux », le héros « au grand
cœur ». Ces qualités, marqueurs sociaux, sont parfois brandies comme un
noble héritage cité contre cité, pour légitimer la domination de l’une sur
l’autre. Dans la même logique, elles cimentent et délimitent une identité
grecque qui se définit par opposition à un monde barbare. Si Homère parle du
monde grec c’est moins de son histoire que de ses valeurs, de ses
représentations, de son projet politique. Si les aventures d’Ulysse comportent
tant de petits arrangements envers l’Histoire, ils sont un mensonge efficace puisqu’il a donné aux grecs la force de vaincre
les Barbares. [6]
Par delà la
Méditerranée : le voyage d’Ulysse continue.
Eschyle, auteur
de tragédies grecques à l’âge classique disait se nourrir des miettes du festin d’Homère. Il faut croire qu’elles
étaient savoureuses. En effet, entre le Vème siècle avant JC et le
début du XXème siècle l’Iliade
et l’Odyssée attribuées à l’aède
firent l’objet de nombreuses transcriptions et duplications. Le long voyage du
roi d’Ithaque continue.
Nous voici
désormais sur la rive sud de la Méditerranée, peu avant l’avènement d’Alexandre
la Grand. Traduite à partir de différentes versions sur des parchemins ou des
papyrus, l’œuvre d’Homère se transmet et se métamorphose. Certains passages fascinent
plus que d’autres et sont davantage copiés et diffusés. C’est une version
vraisemblablement très différente de l’originale que nous lisons aujourd’hui. La
popularité des chants homériques permet d’en identifier de nouvelles copies
plus récentes datant du cœur des temps médiévaux. Ces manuscrits ressurgissent
à l’époque moderne et font même l’objet de nouvelles éditions.[7]
Le succès des
poèmes homériques, les copies successives qui leur permettent de transcender le
temps et de circuler en Méditerranée font que le personnage d’Ulysse réapparait
chez un autre poète. Dante le convoque dans la Divine Comédie au chapitre consacré à l’Enfer. Dans ce poème écrit
entre 1307 et 1321, Dante et Virgile rencontrent Ulysse dans le 8ème
cercle de l’Enfer, celui des fraudeurs, des mauvais conseillers. Ulysse doit y
rendre des comptes pour sa ruse du cheval de Troie mais aussi pour avoir poussé
ses compagnons de route à l’aventure au lieu de les reconduire vers leur foyer.
A la
Renaissance, c’est au tour de Joachim du Bellay de convoquer le souvenir du roi
d’Ithaque dans un des poèmes des Regrets.
L’accroche du sonnet a également marqué les souvenirs de nombreux écoliers Heureux qui comme Ulysse a fait un beau
voyage. De l’Italie où il séjourna quelques temps pour accompagner un
parent et lui servir de secrétaire, Du Bellay, en proie à la nostalgie de son
Anjou natal, le compare au royaume insulaire du héros d’Homère. Toutefois
Ulysse semble bien souvent moins pressé de rentrer que notre éminent membre de
la Pléiade.
Sylvia Beach et Joyce à Shakespeare&co après 1922. |
La réapparition
la plus fracassante en littérature d’Ulysse est récente. Elle est le fait d’un
exilé nomade irlandais, James Joyce, publié à Paris en 1922 par Sylvia Beach
qui dirige alors Shakespaere and co, la
célèbre librairie-bibliothèque, épicentre de la culture anglophone parisienne
des années folles. Le livre devait constituer tout d’abord la dernière partie
d’une autre de ses œuvres, Dubliners – Gens
de Dublin. Mais entre Zurich, Trieste et Paris où il commence réellement sa
rédaction l’ouvrage de Joyce prend une tout autre mesure. 800 pages pour conter
dans un mélange de styles incongru une journée dans la vie de Léopold Bloom,
juif hongrois, le double moderne d’Ulysse dans Dublin, l’Ithaque de Joyce. La
Méditerranée se réduit à la capitale irriguée par les eaux sombres de la Liffey.
Les déambulations débutent à la tour Martello et se terminent dans le lit conjugal du héros réinventé.
Le livre s’ouvre avec un personnage familier des œuvres de Joyce, Stephen Dedalus[8], le trio est au complet pour animer cette journée de pérégrinations dublinoises quand on y ajoute Molly Bloom, la femme de Léopold. C’est son monologue qui clôture en 8 phrases interminables cette œuvre singulière qui fascina ses contemporains (Hemingway souscrit pour sa publication originale en anglais) autant qu’elle les scandalisa (Virginia Woolf le trouva prétentieux et vulgaire). Si la structure de l’épopée est identique, et l’analogie avec l’œuvre d’Homère possible, entre parodie et hommage, le(s) style(s) et figures littéraires nombreux et complexes assemblés par Joyce dans cette œuvre fantasque en font un monument littéraire inclassable autant qu’un tour de force inégalé.
Les déambulations débutent à la tour Martello et se terminent dans le lit conjugal du héros réinventé.
Le livre s’ouvre avec un personnage familier des œuvres de Joyce, Stephen Dedalus[8], le trio est au complet pour animer cette journée de pérégrinations dublinoises quand on y ajoute Molly Bloom, la femme de Léopold. C’est son monologue qui clôture en 8 phrases interminables cette œuvre singulière qui fascina ses contemporains (Hemingway souscrit pour sa publication originale en anglais) autant qu’elle les scandalisa (Virginia Woolf le trouva prétentieux et vulgaire). Si la structure de l’épopée est identique, et l’analogie avec l’œuvre d’Homère possible, entre parodie et hommage, le(s) style(s) et figures littéraires nombreux et complexes assemblés par Joyce dans cette œuvre fantasque en font un monument littéraire inclassable autant qu’un tour de force inégalé.
Ulysses rocks ! Troquons le lotus pour des acides !
Statue de Joyce à Dublin @vservat |
Plaques du Bloomsday à Dublin @vservat |
Les déambulations sont désormais fléchées par des plaques dorées apposées au sol qui permettent chaque 16 juin de célébrer le génie de Joyce. L’occasion de relire des extraits de son livre, et de vider quelques pintes de Guinness dans une ville qui entretient fièrement sa tradition des pubs les plus chaleureux des îles britanniques.
Dans les années 80, Ulysse s’invite dans les foyers français. Une autre forme d’écriture s’empare du classique d’Homère : celle de l’image animée. Le Japon est alors une puissance économique triomphante, et envahit nos petits écrans avec des dessins d’animation qui font le bonheur des écoliers le mercredi après-midi. Nous sommes en 1981, Ulysse est téléporté au XXXI siècle. Le dessin animé sera donc Ulysse 31, c’est une coproduction Franco-Japonaise. Le héros homérique doté d’un sabre laser est accompagné de son fils Télémaque, qu’il vient secourir. Celui-ci a été enlevé par des adorateurs du Cyclope. Pilotant le vaisseau Odysseus, Télémaque, Ulysse et leur petit robot rigolo Nono regagnent la terre, poursuivis par la colère d’un Poséidon de l’espace dont la créature s’est faite duper par un Ulysse du futur qui invite Luke Skywalker dans l’épopée homérique. Conflagration des temporalités à propos de laquelle on aimerait entendre François Hartog qui s’est beaucoup penché sur l’œuvre d’Homère dont il est un fin connaisseur pour alimenter ses régimes d’historicité.
L’écriture
musicale se saisit également du poème d’Homère comme un retour aux sources pour
en donner des versions plus courtes mais référencées. On pourrait évoquer la
chanson de Brassens qui sert de générique au dernier film de Fernandel en 1970 et
qui reprend le 1er vers de Joachim du Bellay, substituant l’Anjou à
la Provence, ou s’attarder sur la
mise en musique de ce même sonnet des
Regrets par Ridan en 2007.
La relecture des
aventures d’Ulysse par le groupe pop de Glasgow, Franz Ferdinand parait
nettement plus audacieuse. Titre d’ouverture de leur 3ème album, Ulysses rend compte d’un voyage
immobile, d’un genre particulier, lié à l’ingestion de quelques pilules
d’acide. On peut légitimement y voir une métamorphose hallucinée de la
rencontre entre Ulysse et les Lotophages. D’une efficacité visiblement remarquable pour quitter la
terre, Alex Kapranos qui s’approprie ici de façon très synthétique (sans
mauvais jeu de mot) le poème homérique nous le certifie : contrairement au
dénouement de l’Odyssée, il n’y aura ici pas de retour pour celui qui ingère la
pilule qui fait voyager. Une façon de planter pour l’éternité le fils de Laërte
dans les brumes colorées des paradis artificiels, hors du temps au delà des
frontières du monde connu. Une place qui finalement lui correspond bien.
Well I sit here
Bien, j'étais assis là
Sentimental footsteps
Une démarche aguicheuse
and then a voice said hi, so,
et puis une voix qui dit "salut", alors
So What ya got, what you got this time?
T’as quoi, t’as quoi cette fois-ci ?
Come on let's get High
Allez viens planons
Come on 'lex oh
Allez Alex on y va
What you got next oh,
Tu as quoi ensuite, oh
Walking 25 miles oh,
25 miles de marche
Well I'm Bored
J’en ai marre
I'm Bored
Ras le bol
C'mon lets get High
Allez décollons
C'mon Lets get high
Allez viens planons
C'mon lets get high
Allez viens planons
Allez viens planons
C'mon lets get high
Allez viens planons
High
Haut
Haut
Well I found a new way
J'ai trouvé une nouvelle voie
J'ai trouvé une nouvelle voie
I found a new way
J'ai trouvé une nouvelle voie
J'ai trouvé une nouvelle voie
C'mon don't amuse me
Allez ne me fais pas rire
Allez ne me fais pas rire
I don't need your sympathy
Je n'ai pas besoin de ta sympathie
Je n'ai pas besoin de ta sympathie
LA LA LA LA LA
la la la la
la la la la
Ulysses
Ulysses
Ulysses
I found a new way
J'ai trouvé une nouvelle route
Well I found a new way baby
J'ai trouvé une nouvelle route chérie.
My Ulysses
Mon Ulysse
Mon Ulysse
My Ulysses
Mon Ulysse
Mon Ulysse
Now, what you want now boy?
Que veux tu maintenant?
Que veux tu maintenant?
So sinister
Si triste
Si triste
So sinister
Si triste
Si triste
But last night was wild
La nuit dernière était pourtant sauvage
Whats the matter there?
C'est quoi le problème ici ?
C'est quoi le problème ici ?
Feeling kinda anxious?
Tu te sens stressé
Tu te sens stressé
That hot blood grow cold
Ce sang chaud s'est glacé
Yeah everyone, everybody knows it
Ouais tout le monde, tout le monde sait
Ouais tout le monde, tout le monde sait
Yeah everyone, everybody knows it
Ouais tout le monde, tout le monde sait
Ouais tout le monde, tout le monde sait
Everybody knows ash
Tout le monde sait ahhh
LA LA LA LA LA
La la la la
La la la la
Ulysses
Ulysses
Ulysses
I found a new way
J'ai trouvé une nouvelle route
J'ai trouvé une nouvelle route
Well I found a new way baby [x2]
J'ai trouvé une nouvelle route, chérie
J'ai trouvé une nouvelle route, chérie
No, no
Non, non
Non, non
Then suddenly you know
Subitement, tu sais
Subitement, tu sais
You're never going home
Tu ne rentreras jamais chez toi
Tu ne rentreras jamais chez toi
You're never [x6]
Tu ne rentreras
You're never going home
Tu ne rentreras jamais chez toi
Tu ne rentreras
You're never going home
Tu ne rentreras jamais chez toi
You're not Ulysses
Tu n'es pas Ulysse
Tu n'es pas Ulysse
Baby
Baby
No, la la la la,
Non, la la la la
Baby
No, la la la la,
Non, la la la la
You're not Ulysses
Tu n'es pas Ulysse
Tu n'es pas Ulysse
Baby
Baby
Baby
No, la la la la
Non, la la la la
Bibliographie :
MC. Amouretti, F. Ruzé, Le Monde grec Antique, Hachette, 1998.
C. Orrieux, P. Schmitt Pantel, Histoire Grecque, Puf, 2005.
F. Hartog, Régimes d'Historicité, Folio Histoire, 2012.
M. Goldring,C. Ní Ríordáin, Irlande, Histoire Société Culture, Autrement 2012.
J. Paris, Joyce, Seuil 1994
Les collections de l'Histoire n°24, La Méditerranée d'Homère, juillet-septembre 2004.
MC. Amouretti, F. Ruzé, Le Monde grec Antique, Hachette, 1998.
C. Orrieux, P. Schmitt Pantel, Histoire Grecque, Puf, 2005.
F. Hartog, Régimes d'Historicité, Folio Histoire, 2012.
M. Goldring,C. Ní Ríordáin, Irlande, Histoire Société Culture, Autrement 2012.
J. Paris, Joyce, Seuil 1994
Les collections de l'Histoire n°24, La Méditerranée d'Homère, juillet-septembre 2004.
[1] La Liffey
est le fleuve qui arrose Dublin.
[2]
L’intelligence rusée en grec.
[3] Selon les
mots de l’écrivain satirique Lucien, IIème siècle ap. JC.
[4] A. Farnoux, Le'un de plus vieux livres du monde, in collections de l'Histoire n°24.
[5] Parmi les enseignements dispensés on trouvait la grammaire, la rhétorique, les mathématiques, la musique ou encore la philosophie.
[6] Dion
Chrysostome, cité dans Que savait-on
vraiment d’Homère ? d’A. Farnoux, les collections de l’Histoire
Juillet-Septembre 2004.
[7] JB Gaspard
et Ansse Villoison en donnent une édition de l’Iliade en 1788.
[8] Héros du
Portrait de l’artiste en jeune homme, Stephen Dedalus est comme un double de Joyce.
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